Couverture
d’assurance
En ce qui concerne le cannabis médical, nous comprenons que vous ayez des questions par rapport à la couverture d’assurance. Nous sommes présents pour vous expliquer comment le tout fonctionne et à quel point il est facile de débuter.
Nous offrons un service sur lequel vous pouvez vous fier
Plus de 330 000 personnes se sont inscrites au cannabis médical auprès de Santé Canada en 2018. Il est estimé que ce nombre atteindra 630 000 d’ici 2024. Il est évident que les employeurs et les compagnies d’assurance devront bientôt joindre la discussion du cannabis médical, surtout en ce qui a trait aux coûts associés pour les patients atteints de cancer, de sclérose en plaques , d’arthrite rhumatoïde, du VIH ainsi que ceux en soins palliatifs pour les maladies graves.
L’équipe Coverleaf fournit un service de haut niveau aux patients, en toute confiance, y compris pour nos vétérans. Les vétérans qui ont vécu un traumatisme grave suite à une ou plusieurs missions de maintien de la paix en Yougoslavie, au Rwanda et en Afghanistan ont besoin d’assistance médicale. Plusieurs vétérans ont trouvé que le cannabis médical les aide à éviter la dépendance à l’utilisation d’opioïdes et d’autres médicaments.
Anciens Combattants Canada et la Croix Bleue
Près de 7300 vétérans ont vu rembourser leurs frais de cannabis médical en 2018. Anciens Combattants Canada (ACC) joue donc un rôle de premier plan dans la gestion de la couverture médicale au Canada. 3
Croix Bleue Medavie, un des principaux fournisseurs canadiens d’assurance-maladie sans but lucratif, administre des programmes de santé au nom d’ACC. Même si chacun les avantages des détenteurs de cartes diffèrent, la couverture médicale du cannabis est possible avec Croix Bleue Medavie pour les patients approuvés.
Malgré qu’ACC ait fixé une limite quotidienne de 3 grammes par patient pour des raisons de santé et pour limiter les coûts, la Croix Bleue permet des exceptions à plus d’un vétéran sur cinq, offrant la couverture sur plus de 3 grammes par jour.4
CSST (Québec)
Le cannabis en milieu de travail soulève de nombreuses questions pour les employeurs et les employés. Peut-on fumer du cannabis au travail? L’employeur peut-il exiger des tests de dépistage? Comment les gens gèrent-ils le cannabis médical en milieu de travail?
Québec a créé la Loi encadrant le cannabis en Décembre 2018, ce qui a engendré un regard sur la santé et la sécurité au travail en lien avec la consommation de cannabis. Tout comme pour l’alcool et le tabac, les employeurs doivent veiller à ce que les travailleurs qui consomment du cannabis soient exemptés des tâches qui posent un risque pour la sécurité au travail.5
Plusieurs lois existantes soutiennent la sécurité au travail. Par exemple, le Code civil du Québec, la Loi sur la santé et la sécurité au travail, le Code de sécurité pour l’industrie de la construction, la Charte des droits et des libertés et le Code criminel.
Même s’il appartient aux employeurs de gérer la façon dont le cannabis est consommé en milieu de travail, le gouvernement du Québec continuera à clarifier les obligations des employeurs et des employés qui visent à protéger la sécurité de tous.
Assurance collective
Bien que la plupart des fournisseurs d’assurance soient réticents à offrir une couverture en raison de la possibilité d’une hausse de coûts due à l’inclusion du cannabis médical, Green Shield Canada, la Great-West, la Société Financière Manuvie, la Financière Sun Life et Desjardins Assurances ont mis en marché des options de couverture du cannabis médical en 2018.
Par exemple, Manuvie recommande une limite de remboursement annuel de 1 500$ à 2500$. Desjardins Assurances couvre un maximum annuel de 1 500$ à 6 000$. Les employeurs et les employés doivent reconnaître que l’ajout d’une couverture du cannabis médicinal aux régimes d’assurance collective se traduira par des primes plus et des réclamations plus élevées.
Cannabis médical ou opioïdes?
Comme tout autre médicament, le cannabis n’est pas une solution pour tout le monde. Mais pour plusieurs, le cannabis est une alternative prudente aux médicaments contre la douleur chronique. La douleur chronique est la raison principale qui poussent les gens vers l’assistance médicale. La douleur chronique touche plus de personnes que le diabète, les maladies cardiaques et le cancer réunis.6
Les ordonnances d’opioïde comme l’OxyContin, le Vicodin, le Percocet et le Fentanyl sont plus fréquentes que celles de cannabis. L’utilisation d’opioïde est hors de contrôle au Canada et aux États-Unis. Entre Janvier 2016 et Juin 2018, plus de 9000 personnes au Canada sont mortes de surdoses d’opiacés, et davantage d’individus continuent à lutter contre la dépendance et l’abus d’opioïdes.7
Bien que plus de recherche soit nécessaire, nous savons que le cannabis est efficace pour traiter la douleur chronique. Des études démontrent que le cannabis peut être utilisé comme substitut aux opiacés et pourrait même améliorer l’effet de médicaments opioïdes lorsqu’ils sont utilisés ensemblew.8 9
Sources
- [1] https://www.statista.com/statistics/603356/canadian-medical-marijuana-clients-registered-by-quarter/
- [2] https://www.ctvnews.ca/health/medical-marijuana-users-feeling-marginalized-in-ramp-up-to-legalization-1.4123462
- [3] https://www.veterans.gc.ca/eng/news/vac-responds/just-the-facts/cannabis-medical-purposes
- [4] https://www.cbc.ca/news/politics/medical-cannabis-veterans-cost-reduction-policy-change-1.4767449
- [5] https://encadrementcannabis.gouv.qc.ca/en/loi/loi-encadrant-le-cannabis/
- [6] https://report.nih.gov/nihfactsheets/ViewFactSheet.aspx?csid=57
- [7] https://www.cihi.ca/en/latest-data-on-the-opioid-crisis
- [8] https://www.tilray.ca/en/blog/post/tilray-supports-new-study-on-medical-cannabis-use-in-patients-over-50-years-old/
- [9] https://www.nature.com/articles/s41386-018-0011-2
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